Le second cerveau de JCK

La fin de votre vie par défaut

Il y a des années qui marquent plus que les autres. Pour ma part, ce fut l’année 2007, celle de mes 16 ans, qui a été le premier grand déclic de ma vie. Je me posais alors pas mal de questions sur « la vie après l’école ».

J’ai commencé à observer et à poser des questions aux adultes de mon entourage. J’ai été bouleversé par mes découvertes. J’ai compris que la majorité des « adultes » n’étaient pas satisfaits de leur vie (relations, travail, quotidien...). Ils ne vivaient pas, ils survivaient. Ils acceptaient sans sourciller la monotonie, le statu quo, le schéma de vie qui leur était proposé.

Pour eux, la vie était ainsi et elle le sera toujours. Le même job qui ne les stimule pas mais qui paye les factures. Le prêt immobilier à rembourser qui empêche de faire des changements. La même bande d’amis qu’ils gardent par habitude.

Ils me disaient de profiter de la jeunesse, de mes années de lycée et d’études, qui seraient « mes meilleures années ».

De mon côté, je suis en pleine crise d’adolescence, pas spécialement heureux dans mon quotidien et j’entends que ces années seront le firmament de mon existence...

En parallèle de cette triste révélation, j’ai eu la « chance » de vivre une crise au cours de cette même année. J’ai perdu successivement mes deux grands-parents maternels chez qui j’avais passé une grande partie de mon enfance. Ce fut un moment difficile à vivre pour ma famille et moi.

Aussi, j’ai complètement décroché scolairement, ce qui a fini par me faire redoubler ma seconde. En quelques semaines, je suis passé d’un jeune adolescent qui avait une vie normale, sans trop de problèmes, à un ado tourmenté. Mes camarades de classe s’éloignaient de moi, mes professeurs me faisaient des remarques acerbes, le conseiller d’orientation voulait m’envoyer au purgatoire.

J’étais mal en point et perdu, mais ce fut le déclic qui changea la trajectoire de ma vie. Cette série d’événements et de réalisations me donnèrent l’envie et la force de changer quelque chose dans ma vie.

Je ne savais pas du tout ce que je cherchais, mais j’étais sûr d’une chose : je voulais me donner la possibilité d’explorer d’autres chemins de vie et me créer une vie qui ne me ferait jamais dire à mon tour à un adolescent : « Profite, ce sont les meilleures années de ta vie. »

Pendant l’été qui a suivi mon redoublement, je me suis mis à lire. J’ai découvert les biographies et certaines ont changé ma vie.

Tout d’abord celle de Jack Kerouac (1922-1969) et son célèbre Sur la route, qui me confirma qu’il était possible de tracer sa propre voie, de créer des chemins de vie alternatifs en sortant des sentiers battus.

La biographie de Serge Gainsbourg (1928-1991) me donna envie de me dédier à un art et de ne pas me limiter à mes croyances limitantes (un physique disgracieux dans son cas).

Enfin, Christopher McCandless (1968-1992), le héros malheureux d’Into the Wild, a fini par me convaincre de divorcer de l’école – au moins intellectuellement » –, d’étudier par moi-même certains auteurs et de créer mes propres règles de vie.

Dans le même temps, je cherchais une activité qui allait pouvoir me redonner la confiance en moi que l’école m’avait fait perdre ainsi qu’un moyen d’obtenir une indépendance financière mais aussi intellectuelle et psychologique.

Il se trouve que ce fut le poker en ligne qui m’offrit le terrain de jeu idéal pour obtenir ce que je désirais. Ce jeu fut mon premier moyen d’émancipation. Il m’aida à passer d’un jeune qui était en train de se perdre dans un dédale de questions et de problèmes à un jeune qui traçait son propre chemin.

L’année de mes 16 ans fut ainsi le point de départ de ma révolte personnelle et de ma vie intentionnelle. Mais comme vous allez le voir, la vie intentionnelle est un chemin et il n’a pas été sans embûches pour moi malgré ces premières « victoires » durant l’adolescence.

Le fléau moderne

Tout au long de ma vingtaine, j’ai continué à observer les gens et le monde autour de moi.

Ce que les « adultes » m’avaient dit lorsque j’étais adolescent s’est confirmé. La majorité des gens vivent en pilotage automatique, sans rien remettre en question.

J’en suis arrivé à la conclusion que nous vivons dans une société malade. Les gens ne sont pas heureux, travaillent pour consommer, consomment pour oublier et cherchent une porte de sortie (ou un rayon de bonheur) en faisant tourner la roue de hamster dans laquelle ils sont coincés.

Le modèle de société dans lequel nous vivons (et la trajectoire qu’il prend) n’est pas pensé pour aider les hommes et les femmes à mener une vie de sens, de liberté et de sérénité.

Il est pensé pour faire tourner une machine qui nous dépasse. Personne ne nous incite à nous poser des questions, à prendre nos responsabilités pour améliorer nos vies et celles de nos proches.

Pensez-vous vraiment que passer quatre heures par jour sur son téléphone est un signe de bonne santé mentale ? De travailler assis huit heures à un bureau à faire des tâches répétitives ? D’attendre le week-end, les vacances, la retraite ? D’avoir besoin d’une pandémie pour se poser des questions sur sa vie ? De dépendre d’un système qui semble sur le point d’imploser ? De ne plus être capable de rester concentré plus de cinq minutes ? D’être accro à la pornographie, aux réseaux sociaux, aux jeux vidéo ? D’être esclave de nos désirs ? De ne pas trouver de sens à sa vie et d’être constamment déprimé ?

Nous vivons pour la première fois de l’Histoire dans une société où l’abondance cause plus de problèmes (décès, perte de capacités intellectuelles, dégâts environnementaux) que le manque.

De plus, nous assistons à une augmentation des cas de dépression. Les gens ressentent un manque de sens dans leur vie. En effet, dans une société de plus en plus matérialiste et axée sur la consommation, les individus peuvent éprouver un sentiment de vide et une perte de sens dans leur vie.

La recherche de sens et de spiritualité peut être compliquée dans un monde qui valorise davantage les réalisations matérielles que le développement personnel.

Pourtant, nous vivons, dans le même temps, la meilleure époque pour mener une vie qui nous correspond, pour trouver du sens, être libre et bien plus. C’est le paradoxe de cette époque (et peut-être bien de chaque époque ?).

Le philosophe Platon (427-347 avant J.-C.) l’expliquait avec son concept du pharmakon. Le pharmakon signifie que toute technique (ou technologie) est à la fois remède et poison. Le feu peut servir à nous réchauffer ou à brûler une maison.

Si vous vivez en Occident, vous avez accès à Internet et toutes les connaissances du monde dans votre poche. Vous avez à disposition une multitude d’outils pour vous développer personnellement et professionnellement.

Vous pouvez rencontrer des gens qui partagent vos centres d’intérêt dans le monde entier. Vous pouvez même trouver un job en télétravail et voyager aux quatre coins du monde.

Notre époque est excitante pour celui qui arrive à en tirer le plein potentiel.

Et c’est exactement ce que vous allez découvrir avec ce livre.

Une philosophie de vie qui va vous permettre de ne pas subir, mais de choisir votre vie.

De ne pas vous faire empoisonner par votre époque, mais d’en faire un remède pour mener une bonne vie.

De quitter la vie par défaut et de mener une vie intentionnelle.

Qu’est-ce que ce livre va vous apporter ?

J’ai écrit ce livre pour ceux qui veulent sonner la révolte. Pour ceux qui veulent quitter la « vie par défaut » et la vie subie.

Pour cela, j’ai puisé dans tout ce que j’ai pu lire, observer, vivre, expérimenter ces quinze dernières années.

Je vais vous proposer de suivre une philosophie de vie, celle de la vie intentionnelle.

Cette vie intentionnelle est un antidote aux problèmes et excès de notre époque. Elle vous permet de mieux naviguer dans ce 21eme siècle. Elle est composée d’un ensemble de principes, de modèles de pensée et d’actions.

Imaginez votre vie dans quelques années. Vous avez appris à mieux vous connaître. Pour la première fois de votre vie, vous prenez du temps pour vous.

Vous ne vivez plus selon les attentes des autres, mais selon vos aspirations et vos valeurs.

Vous pensez par vous-même et pour vous-même. Vous avez le courage de questionner vos choix, les conventions de la société et de créer vos propres règles.

Vous avez fait de votre développement personnel une priorité dans votre quotidien.

Vous n’avez plus aucun comportement néfaste pour votre santé mentale et physique.

Vous avez une mission personnelle qui donne du sens à votre vie. Vous avez des projets et une vision à long terme de qui vous souhaitez devenir.

Vous n’êtes plus esclave de vos désirs, de votre téléphone, des demandes toujours plus nombreuses et intrusives du monde extérieur.

Vous avez un sentiment plus grand de contrôle sur votre existence et vous êtes heureux de prendre la responsabilité de celle-ci.

Votre moral est plus stable, vous êtes plus serein et heureux au quotidien. Vous êtes à nouveau maître de votre temps, de votre attention et de votre concentration.

Vous comprenez les enjeux, les outils, les règles spécifiques à votre époque et vous savez en tirer profit (plutôt que d’être impacté négativement par celle-ci).

Vous avez construit un groupe de proches, d’amis, de relations solides qui évoluent avec vous. Vous êtes heureux de les aider, de vivre avec eux.

En clair, vous ne vivez plus en pilotage automatique, vous ne subissez plus votre vie : vous la choisissez.

Mon chemin de vie intentionnelle

La vie intentionnelle est un chemin.

Le mien a commencé à 16 ans avec mon désengagement de la voie classique. Pour autant, mon chemin de vie intentionnelle est loin d’être linéaire et sans embûches.

Voici trois autres moments charnières de mon chemin de vie intentionnelle.

D’un BTS en comptabilité à la découverte de l’entrepreneuriat

Printemps 2014. Je suis un « loser » dans le monde physique et un « winner » dans le monde virtuel.

Je viens d’avoir 23 ans et je m’ennuie à mourir dans mon BTS de comptabilité.

Cela fait quatre ans que je mène une double vie : d’un côté une tentative infructueuse de suivre des études (fac de droit, fac de langues) et de l’autre une vie de joueur de poker en ligne qui se déroule bien.

Lors de ce printemps, j’ai la sensation d’être à un carrefour de ma vie.

Et ce n’est pas tout, cela fait trois ans que je suis un nihiliste. Celui qui ne croit en rien, qui commence à devenir pessimiste, à ne plus respecter et aimer la vie.

J’enchaîne les après-midi au café avec mes amis de l’époque, les soirées du mercredi au samedi, les gueules de bois, les réveils tardifs. Je n’aime pas ma vie durant cette période.

Néanmoins, j’ai une lueur d’espoir grâce au poker qui était alors la soupape qui donnait du sens à ma vie. Cette activité m’a prouvé que j’étais capable de devenir compétent dans un domaine.

Mais ce n’était pas suffisant. Je m’étais posé une question durant cette période : « Suis-je prêt à vivre ainsi pendant des années ? » Revivre cette même vie, ces mêmes journées. Impossible.

Puis, j’ai eu un déclic pendant un stage. Je découvre, grâce à un forum de poker, l’univers du développement personnel et du monde des startup.

C’est à ce moment que j’ai décidé de quitter ma « vie par défaut », ma vie de nihiliste. Je me suis dit : « Dans cinq ans, tu seras un autre homme, tu feras des choses qui valent la peine de te lever le matin. »

J’ai rejoint le projet d’un entrepreneur de ma ville natale, sur lequel j’ai travaillé six mois. Personne n’a jamais entendu parler de ce projet mais il m’a permis d’ouvrir une autre phase de vie, celle de ma période de startupper.

Se développer à travers l’entrepreneuriat et le monde des startup

J’ai lancé Fetch, une startup de food delivery, en janvier 2015. Je l’ai cédée au groupe La Poste fin 2018.

Lancer et développer cette startup fut une école de la vie,celle qui m’a appris à devenir un homme responsable de ses actes et paroles ainsi qu’à mieux comprendre la nature humaine et les dynamiques sociales dans un environnement professionnel et hypercompétitif.

Ces quatre années m’ont notamment permis de :

Mais la vie intentionnelle n’est pas une destination. C’est un chemin, une direction vers laquelle on tend.

Ces années ont aussi apporté leur lot de problèmes et de déséquilibres dans certains domaines de ma vie :

Une crise existentielle de 27 à 30 ans

Durant le printemps 2021, j’ai fait une sorte de burn-out, qui engendra une crise salvatrice.

Mon analyse a posteriori est que cette crise fut le produit de trois années à batailler intérieurement entre plusieurs identités et désirs contradictoires que je souhaitais explorer.

D’un côté, je voulais poursuivre mon aventure de startupper et exploiter mes connaissances, mon réseau et ma marque personnelle dans ce milieu pour relancer de gros projets. D’un autre côté, j’avais envie de passer à autre chose, de découvrir de nouveaux domaines, d’écrire, de penser, de créer.

Un ensemble d’événements personnels et sociétaux finiront par générer une crise qui va durer plusieurs mois. Mais c’est cette crise qui m’aidera à assumer pleinement qui j’avais envie de devenir.

J’ai alors écrit mon manifeste personnel qui fera naître les idées principales de ce livre.

Un manifeste est un document dans lequel vous écrivez votre vision d’un monde « idéal », de la personne que vous aimeriez devenir et de la contribution que vous aimeriez apporter à ce monde.

Lors de cet exercice introspectif, je prends alors conscience de mes erreurs passées et définis ma vision pour le futur.

Je constate que je mène malgré moi une « vie par défaut ». Même si j’essaie depuis l’adolescence de sortir des schémas préconçus, je passe plus de temps à « jouer au théâtre de l’existence » qu’à vivre ma vie.

Je reste éloigné de qui j’ai vraiment envie d’être. Je mets mes peurs à distance, mais au fond, ce sont elles qui me guident.

Ces mois de solitude et à l’arrêt quasi complet me font prendre conscience (dans ma chair) de l’importance du mouvement et de la mise en action. Je me lance des petits projets pour essayer de remettre du rythme et donner une direction à ma vie.

Par exemple, je passe deux semaines à apprendre à taper à dix doigts au clavier. Ce projet était ce qui a donné un « sens » à ma vie et une raison de me lever à cette période. Il semble anecdotique deux ans plus tard, mais il fut salvateur au milieu de la tempête.

En parallèle de ces réflexions, je me plonge sérieusement dans des livres de philosophie,notamment les écrits de Sénèque1 (4 avant J.-C.‒65 après J.-C.), le philosophe romain adepte du stoïcisme. Je prends conscience que la philosophie peut être un mode de vie et une thérapie pour mieux vivre.

La lecture de ces textes me fait beaucoup de bien. Mon manifeste évolue. J’en conclus que ce dont j’ai besoin est de m’extraire d’une vie menée par défaut et de mener une vie vraiment intentionnelle.

Et depuis ?

L’année 2021 m’a permis de cristalliser ce que j’avais au fond de moi depuis mon adolescence, mais que je n’arrivais ni à exprimer ni à pratiquer pleinement.

La vie intentionnelle est un cri de révolte qui est fait de mouvement, d’introspection, de responsabilité, d’exploration, de projets, de lien avec autrui, et d’élévation de soi.

Cette révolte ? Ne pas accepter de subir sa vie. Ne pas accepter de vivre selon les autres. Ne pas accepter de mener une vie par défaut. Désormais, tout ce que je fais, pense et écris est lié à ce que j’appelle mon « projet de vie intentionnelle ».

Je suis parti vivre à l’étranger pour créer de l’espace mental, élargir ma zone de confort et avoir de nouvelles perspectives sur la vie, notre société et le monde.

J’ai fait un challenge de deux mois, «Vivre et penser comme un stoïcien », qui m’a permis d’intégrer mentalement et physiquement les principes de cette philosophie puis de conserver ce qui m’était vraiment utile.

J’ai travaillé sur mes fondamentaux : la santé physique et mentale, les relations, la recherche/création de sens, l’énergie.

J’ai dépassé mes peurs et croyances limitantes dans de nombreux domaines, notamment intellectuels, en me construisant un programme de philosophie avec plusieurs professeurs particuliers.

J’ai appris à rencontrer des inconnus dans des cafés et dans la rue. Je suis maintenant capable de briser les murs invisibles et de me connecter avec n’importe qui ou presque dans de nombreux environnements.

J’ai changé ma façon de voir la vie. Je me vois maintenant comme un explorateur et un scientifique faisant des expériences. Ma vie est devenue « un jeu » avec des sous-jeux dans lesquels je m’engage.

J’ai accompagné des dizaines d’entrepreneurs en coaching pour les aider à construire une entreprise au service de leur vie. J’ai développé mes idées sur Internet en les diffusant chaque mois à des centaines de milliers de personnes.

Je me suis lancé dans un des plus grands challenges de ma vie avec l’écriture de ce livre.

Je choisis mes engagements, je choisis mes règles, je choisis mes projets. Bref, je mène une vie intentionnelle.

Ce que vous allez trouver dans la suite du livre ?

Je me pose les mêmes questions que vous : « Comment vivre sa vie ? Comment être plus libre ? heureux ? serein ? Comment trouver du sens à son existence ? Comment mieux se connaître ? Oser mener la vie que nous aimerions vivre ? »

Mais aussi : « Comment tirer le meilleur de ce que notre époque peut offrir à nous et nos proches ? Retrouver sa capacité d’attention ? Comment prendre la responsabilité de son existence ? Accepter ce qui n’est pas en notre contrôle ? Construire un environnement qui nous correspond ? »

J’ai passé les quinze dernières années à me poser ces questions et à chercher des réponses. Je ne suis pas un expert de la vie (qui l’est ?), mais je suis un explorateur de la vie qui va pouvoir vous guider vers une vie plus intentionnelle.

Pour cela, j’ai créé trois personnages, Stéphane, Achille et le Philopreneur. Stéphane est l’archétype d’une vie menée à 100 % par défaut. Achille est l’archétype d’une vie menée à 100 % de façon intentionnelle.

Puis, pour vous et moi, le Philopreneur, celui qui essaie de ne plus subir mais de choisir sa vie. Celui qui s’éloigne de la vie par défaut de « Stéphane » et souhaite se rapprocher de la vie intentionnelle « d’Achille ».

Dans les chapitres qui suivent, je vais vous présenter nos personnages ainsi que le concept de vie intentionnelle.

Dans un second temps, vous découvrirez les 7 principes intemporels de la vie intentionnelle qui représentent le cœur du livre. Chacun de ces principes est un modèle de pensées et d’actions qui va vous aider à mieux vivre votre vie.

Enfin, dans le dernier chapitre, vous apprendrez à créer votre projet de vie intentionnelle. Je vous dévoilerai aussi un système pour faire avancer ce projet au jour le jour.

La vie intentionnelle a changé ma vie. Et je sais qu’elle changera la vôtre.

Il est temps de vous présenter Stéphane et Achille, nos deux protagonistes de la vie par défaut et la vie intentionnelle.

Voici mon livre : Vie intentionnelle

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